Quand la flexibilité devient un terrain d’expérimentation

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MEYER CHLOÉ

Un atelier inédit signé Osol et Sedus pour les membres de l’IDET a transformé la flexibilité en véritable terrain d’expérimentation. Miniatures, travail en équipes et idées concrètes : une exploration collective de ce que signifie vraiment un environnement de travail “future proof”.

Quand la flexibilité devient un terrain d’expérimentation

Il y a quelques jours Sedus France, Osol et l’IDET se rejoignaient pour organiser un atelier pas tout à fait comme les autres. Une matinée co-construite par Osol et Sedus France, pensée comme un parcours d’exploration. Un accueil autour d’un café, un retour rapide sur l’évolution de la flexibilité dans les bureaux, quelques échanges avec les DET présent.e.s… puis passage immédiat au concret avec l’atelier se:play.

L’objectif : observer, manipuler et surtout comprendre ce que la flexibilité signifie réellement lorsqu’on aménage un espace. Pas un énième concept théorique, mais de la pratique, concrète.

Osol x Sedus
Deux expertises complémentaires pour une même ambition

Osol développe l’énergie mobile pour les environnements de travail. Les Bases et Pico Osol d’alimenter n’importe quel espace, sans prises, câbles, chargeurs ni travaux, au plus près des usages. Une liberté d’alimentation qui transforme la manière de concevoir et d’occuper les surfaces.

Sedus, fabricant allemand historique, conçoit depuis plus de 150 ans un mobilier centré sur l’humain, l’ergonomie et la durabilité. L’entreprise appartient à deux fondations qui réinvestissent leurs ressources dans la recherche, l’innovation et le social. Une approche rare et résolument tournée vers la qualité et la responsabilité.

Réunis, Osol et Sedus proposent une combinaison logique. Du mobilier modulaire. De l’énergie mobile. Et donc des environnements de travail qui évoluent facilement, s’adaptent aux usages et respectent les diversités humaines.

Parce que c’est ça, un environnement de travail future proof. Un espace capable d’évoluer et de s’adapter aux utilisateurs et évolutions.

Le se:play
Une miniature… pour faire émerger des idées bien réelles

Pour illustrer la flexibilité autrement que par des mots, les participants ont été invités à travailler en deux équipes. Chacune s’est vu confier une maquette complète de work café, composée de modules Sedus miniaturisés et de petites répliques des solutions Osol. Un terrain d’essai idéal pour imaginer, déplacer, ajuster et tester librement la configuration d’un espace hybride. Leur mission : imaginer un espace hybride capable de fonctionner au quotidien, mais aussi de se transformer pour accueillir des événements, du travail individuel, des échanges informels ou des temps de formation.

Et comme d’habitude, c’est de la pratique que naissent les meilleurs apprentissages :

  • Un espace hybride doit être pensé comme un espace vivant.

Un work café flexible n’est plus un lieu monofonctionnel. C’est un support d’activités multiples qui s’adaptent à la journée, à l’équipe ou à l’événement. En améliorant l’usage dans le temps, on augmente la valeur créée par le mètre carré, ce qui permet aux directions immobilières et workplace d’optimiser à la fois l’exploitation des surfaces et l’expérience vécue par les collaborateurs.

  • L’énergie doit s’adapter au mouvement des collaborateurs

Libérer l’énergie, c’est libérer les collaborateurs. Parce qu’un collaborateur ne devrait plus se demander s’il a son chargeur ou si une prise fonctionne. Il devrait simplement pouvoir poser son ordinateur où il veut et travailler

  • Les solutions doivent répondre à une réalité terrain : dans les espaces hybrides, les utilisateurs n’arrivent jamais avec leur chargeur.

Les participants l’ont souligné à plusieurs reprises. Électrifier massivement le mobilier dans ces zones ne résout pas le problème central : les collaborateurs n’emportent pas de chargeur dans un work café. Ce dont ils ont besoin, c’est d’un moyen simple d’alimenter leur ordinateur, où qu’ils s’installent.

  • La résilience d’un espace dépend de la capacité à tout faire bouger

La modularité réelle apparaît lorsque les éléments physiques et l’alimentation peuvent être déplacés ensemble. C’est ce qui a permis aux groupes de reconfigurer entièrement leur work café miniature en quelques gestes, sans préparation ni compromis technique. Mobilier et énergie forment un ensemble cohérent qui ouvre la voie à des usages multiples et immédiats.

  • Imaginer différents futurs devient une étape naturelle

Au fil des manipulations, les équipes se sont mises spontanément à imaginer la vie de l’espace sous plusieurs formes : un fonctionnement quotidien, des temps collaboratifs, des moments événementiels ou des usages ponctuels plus intenses. La maquette en format réduit crée un cadre propice à la projection et encourage à penser un espace capable de changer de rôle au gré des besoins.

  • L’aménagement doit intégrer les diversités humaines dès l’origine.

La manipulation des miniatures a également révélé l’importance de prévoir des zones apaisées, des circulations fluides, des espaces accessibles ou isolés selon les besoins. Les sujets liés aux handicaps, à la neurodiversité ou aux sensibilités sensorielles trouvent naturellement leur place lorsqu’on conçoit l’espace à partir des usages réels et non d’un plan théorique.

Un espace pour toutes les diversités
Un sujet devenu incontournable

Les échanges ont aussi porté sur l’inclusivité. Handicaps visibles ou non. Neurodiversité. Sensibilité au bruit. Besoin d’isolement ou au contraire de connexion. Les DET présents l’ont confirmé : un bon espace doit s’adapter aux différents profils qui le traversent.
Plus un lieu est modulable, plus il peut respecter ces diversités.
La flexibilité devient alors un outil d’inclusion.

Un contexte qui change vite
Et qui impose que les espaces suivent le mouvement

Certains métiers se transforment grâce à l’intelligence artificielle. D’autres, comme les centres d’appel, réinvestissent massivement dans l’humain. Les effectifs varient, les besoins bougent, les rythmes s’accélèrent. Les espaces doivent donc pouvoir évoluer rapidement, sans travaux lourds et sans recâblage.

La modularité, la réversibilité et la simplicité d’usage apparaissent comme des enjeux centraux. Sedus et Osol répondent précisément à cette attente.

Une expérience simple, collaborative et reproductible

L’atelier a permis aux participants de tester en conditions réelles ce que devient un espace lorsqu’on lui retire ses contraintes techniques et qu’on le replace au centre des usages. Une expérience concrète, accessible, et surtout réplicable.

Centres d’expérience clients, agences d’architecture, directions workplace, événements sectoriels. Le se:play et la démarche Osol x Sedus se prêtent parfaitement à d’autres formats pour aider les décideurs à projeter, ajuster et repenser leurs espaces.

En conclusion
Libérer les espaces pour libérer les esprits

Ce qui ressort de cette matinée est simple. La flexibilité n’est ni un concept marketing ni une tendance passagère. C’est une démarche pragmatique qui mêle mobilité du mobilier, énergie décentralisée, attention aux diversités humaines et capacité d’évolution.

Un espace future proof n’est pas un espace parfait. C’est un espace qui s’adapte, qui vit, et qui continue d’évoluer dans le temps.

The Power of Freedom 🚀 in spaces where We Really Care

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